Ma commune
La Commune de Trith Saint Léger
Il est communément établi que la grande région au nord de Paris se situe au carrefour de l’Europe. Alors, c’est Trith-Saint-Léger qui est l’épicentre de ce carrefour. En effet, Paris, Londres, Amsterdam, Bruxelles, Luxembourg sont situés dans un rayon de 250 kms. Les communes limitrophes : Valenciennes, Aulnoy, Maing, Prouvy et celles voisines : Thiant, Rouvignies, Haulchin, la Sentinelle, Hérin, Oisy, Famars, Artres, Quérénaing, Monchaux sur Ecaillon, Verchain Maugré forment avec la partie sud de Valenciennes un canton à la fois industriel et rural. Le canton d’Aulnoy-Lez-Valenciennes dont Trith-Saint-Léger est la ville phare, forme avec le canton de Denain la 19ème circonscription du Nord insérée dans le Département du Nord et la Région Nord-Pas-de-Calais.
Passionnement vôtre!
Trith-Saint-Léger est une petite ville qui a les atouts d’une grande…Le code postal de la commune est 59125. n° INSEE : 590603
C’est une petite ville par sa taille : 687 hectares, mais une ville importante au regard des équipements et des services qu’elle offre à ses administrés. Le recensement de 2013 a établi que la population trithoise s’élève à 6401 habitants. Le nombre relatif au recensement effectué en 2016 n’est pas encore connu.
| 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 678 | 1 003 | 1 153 | 1 661 | 1 768 | 1 799 | 1 951 | 2 495 | 2 898 |
| 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 3 271 | 3 923 | 4 019 | 2 312 | 2 777 | 3 283 | 3 537 | 3 716 | 3 724 |
| 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 3 789 | 4 363 | 4 188 | 5 084 | 5 416 | 5 143 | 5 280 | 6 459 | 7 098 |
| 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2011 | 2013 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 7 612 | 6 757 | 5 952 | 6 208 | 6 196 | 6 367 | 6 504 | 6 450 | 6 401 |
| Code Insee | 59603 |
| Sources | 2006 – 2008– 2011– 2013 |
| Variation par rapport à n – 5 | en baisse de 3 % par rapport à 2008 (département : + 1,2 %, France entière hors Mayotte : + 2,5 %) |
Son altitude moyenne est de 25 m au dessus du niveau de la mer.
Trith dans l'agglomération de la C.A.P.H.
Personnalités de Trith
Aimable
Aimable Pluchard est né dans un village du Nord, à Trith-Saint-Léger, le 10 mai 1922. Son père Louis Pluchard, mineur, ravi de la vocation musicale de son fils, l’encouragera à entrer, à l’âge de 7 ans, dans la fanfare du village comme trompettiste. Mais ses lèvres, trop fragiles, l’obligent à jouer du saxophone soprano. Très vite son professeur lui découvre des dons musicaux exceptionnels.
Un professeur, jouant d’oreille, l’initie à l’accordéon en collant des timbres-poste de différentes couleurs sur les touches. Au bout d’un an d’étude, un autre professeur, Larchange, va reprendre les choses en main. La méthode d’enseignement de Larchange donnera des résultats qui ne tardèrent pas à se faire sentir.
À l’âge de 11 ans, accompagné de son père à la batterie, Aimable se produit dans une brasserie. Il doit apprendre le métier d’ajusteur tout en travaillant son instrument avec acharnement.
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Maurice Larcange
Maurice Larcanché dit Maurice Larcange est un accordéoniste français et compositeur né le 20 août 1929 à Haveluy près de Valenciennes (Nord) et décédé le 14 septembre 2007.
Son père Emile Larcanché, violoniste et accordéoniste est un professeur de musique réputé qui dirige une école d’accordéon à Trith-Saint-Léger, ville voisine de Valenciennes et a, notamment, comme élève un dénommé Aimable Pluchard dit Aimable.
Maurice apprend le piano, la clarinette et l’accordéon. Pourtant, il rêve d’athlétisme et veut pratiquer le football. Néanmoins, il étudie sérieusement la musique. Avec son frère André à la batterie, ils participent à des galas.
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Daniel Leclercq
Né le à Trith-Saint-Léger (Nord), il est formé à Valenciennes de 1961 à 1970. Il joue son premier match en première division le avec Valenciennes contre Rouen, et son dernier match le avec Lens contre Lyon. Il compte 357 matchs en D1 pour 22 buts.
Après sa retraite sportive, il entraîne l’US Valenciennes de décembre 1986 à octobre 1987. Sans club professionnel, il dirige le SC Guesnain de 1990 à 1992. Il rejoint alors l’encadrement du RC Lens, dont il devient l’entraîneur en 1997. Il mène le club à son seul titre de champion de France de première division en 1998 et à la victoire en Coupe de la Ligue l’année suivante. Il est alors surnommé Le Druide dans le milieu du football. Il quitte le club au bout d’un peu plus de deux saisons, mais demeure proche de son président, Gervais Martel.
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Joël Prévost
Joël Prévost, de son vrai nom Jean-Luc Potaux est un chanteur français, né à Narbonne le .
Il a grandi à Trith-Saint-Léger, Il s’installe à Paris en 1970 et signe en 1972 un contrat avec CBS Records, libérant une série de singles et tournées au cours des prochaines années avec des artistes comme Serge Gainsbourg, Mike Brant, Michèle Torr et Serge Lama.
En 1977, Prévost participe à la sélection française pour l’Eurovision, diffusée sur TF1, se déroulant en deux demi-finales puis la finale. Il participe à la première demi-finale, interprétant la chanson Pour Oublier Barbara. Il échoue, se classant 6e sur 7, tandis que Marie Myriam (candidate de la 2e demi-finale) gagne la sélection le 6 mars.
L’année suivante en 1978, il participe à nouveau à la sélection française diffusée sur TF1. Lors de la 1re demi-finale, il se classe 2e après Jean-Paul Cara et devant Noëlle Cordier. Il est qualifié pour la finale présentée par Évelyne Leclercq, le 26 mars. Il remporte la sélection et sera donc le représentant de la France au Concours Eurovision. Le concours diffusé sur TF1 a lieu à Paris, au Palais des congrès le 22 avril à la suite de la victoire de Marie Myriam pour la France l’année précédente. La soirée est animée par Léon Zitrone et Denise Fabre.
La chanson Il y aura toujours des violons qu’interprète Prévost, écrite par Didier Barbelivien et composée par Gérard Stern, est une ballade traditionnelle sans concession pour les tendances musicales des années 1970. La chanson se classe 3e sur 20 pays, avec 119 points.
Prévost reste actif, ayant joué des résidences à Olympia (Paris) , Alhambra (Paris) et fait de nombreuses tournées pendant plusieurs années dans toute l’Afrique.
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Trith Saint Léger, ville pionnière
Trith est une ville pionnière. Elle fut l’une des premières communes à organiser des classes de neige. Sa piscine abrite un club de bébés nageurs depuis la fin des années 70.
C’est aussi une référence en terme d’animation culturelle. Sa médiathèque “Gustave Ansart” et le théâtre des Forges “René Carpentier”, son école d’arts plastiques, de danse et de musique accueillent enfants et adultes. Riche d’une vie associative très dense, le quotidien des Trithois est marqué par une pratique sportive favorisée par l’existence de nombreux équipements.
Trith Saint Léger a décroché en 2003 le 1er prix départemental des Villes Fleuries. Aujourd’hui les panneaux d’entrées de ville arborent la fameuse “fleur” qui caractérise les villes où l’environnement est appréhendé sur la durée. Cette recherche permanente de l’amélioration du cadre de vie ne s’oppose pas à l’emploi. La commune a gardé une image de marque liée au travail avec notamment sur son territoire de grandes entreprises comme PSA, Valdunes, LME ou encore la zone industrielle sans oublier les artisans.
Trith-Saint-Léger est une ville jeune. 6 écoles maternelles et primaires, un collège et un lycée professionnel accueillent les élèves. Pour autant les seniors ne sont pas oubliés. Repas, voyage, “semaine bleue” sont organisés pour donner de la qualité à la vie. Ici la solidarité n’est pas un vain mot.
